Pour souligner la JOURNÉE NATIONALE DES PATRIOTES, la SECTION JEAN-OLIVIER-CHÉNIER de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal organise un cortège automobile ce 24 mai 2021 avec célébrations au Manoir Globensky à Saint-Eustache et à l'Église de Saint-Benoit. Le tout se déroule en automobile.

L'équipe organisatrice partira à 11:00 heures de l'Église de Saint-Eustache.

Voir tout le déroulement en cliquant sur le lien "Plus" ci-bas. 

Une patriotique reconnaissance à la présidente Lucie Gervais de la Section ainsi qu'au vice-président Jean Arsenault pour ces célébrations en difficile période de pandémie. 

En cette JOURNÉE NATIONALE DES PATRIOTES, mémorable et unique dans cette situation si particulière de pandémie et de confinement, regardons cette magnifique vidéo de cette grandiose célébration au lien:  

https://youtu.be/UsaUujuJ1rw

En ce 14 mai 2012, par résolution du Conseil de Ville, 

Saint-Eustache est proclamée

CAPITALE NATIONALE DES PATRIOTES 

PROCLAMATION

Nous, Patriotes du Québec réunis en ce 16 mai 2009 à l’occasion de la Journée nationale des Patriotes au Centre d’art la petite église, 271, rue Saint-Eustache à Saint-Eustache, proclamons solidairement la ville de Saint-Eustache la Capitale nationale de tous les Patriotes du Québec.

Le débat est lancé. L'avenir de l'église des patriotes de Saint-Eustache est en danger. Nous sommes tous mis à contribution pour donner nos recommandations sur son avenir.

C'est le temps et l'occasion de nous exprimer librement comment chacun d'entre nous entend contribuer à sauver ce patrimoine national.

Exprimez-vous sur le forum «Église des Patriotes de Saint-Eustache»

ARTICLES

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
La fabrique de Saint-Eustache a reçu à ce jour plus de 600 000 $ pour des travaux de restauration à l’église mère
par Benoît Bilodeau

La Concorde, mercredi 14 janvier 2009
L’église mère de Saint-Eustache à donner?
par Dany Cloutier

La Concorde, mercredi 14 janvier 2009
L’église Saint-Eustache: un témoin important de l’histoire
par Dany Cloutier

Le Journal de Montréal, mercredi 18 janvier 2009
L'église des Patriotes à donner
par Charles Poulin

La Concorde, mercredi 21 janvier 2009
Claude Carignan: «Ce n’est pas à la Ville à trouver une solution»
par Dany Cloutier

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
La ministre St-Pierre promet d’accompagner la Ville et le milieu
par Benoît Bilodeau

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
La fabrique de Saint-Eustache a reçu à ce jour plus de 600 000 $
par Benoît Bilodeau

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
Le député Benoit Charette désigné au sein de la Commission de la culture
par Martin Leclerc

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
Le nouveau député s’implique pour l’église et l’hôpital
par Martin Leclerc

L'Éveil, vendredi 23 janvier 2009
Plus qu’une église à donner, un patrimoine à sauver
par Benoît Bilodeau

Journal des communautés chrétiennes, dimanche 25 janvier 2009
Une église à donner ... suites
par Nycole Pepper

The Gazette, mardi 27 janvier 2009
Historic church looking for cash
par Alan Hustak

La Concorde, mercredi 11 février 2009
Mobilisation pour la sauvegarde de l’église Saint-Eustache
par Caroline D'astous

L'Éveil, vendredi 13 février 2009
La section Jean-Olivier-Chénier met sur pied un comité de mobilisation pour la sauvegarde de l’église des Patriotes de Saint-Eustache
par Valérie Maynard

À propos du drapeau...

Saint Jean-Baptiste et son mouton ou l'histoire d'un patron oublié

La Fête nationale du Québec... au-delà des mots

Période : 1869 - 2005
Louis Riel, défenseur du peuple métis

Patriote ou traître selon les points de vue, Louis Riel a mené la résistance des Métis en 1869 et en 1885. Le 16 novembre 1885, il est pendu à Regina pour haute trahison. Personnage controversé de notre histoire, Riel symbolise l'antagonisme entre l'ouest et l'est du pays, entre Blancs et Amérindiens, entre Canadiens français et Canadiens anglais. Depuis le centenaire de sa mort, des Métis et des membres du gouvernement tentent de réhabiliter sa mémoire.

 Regarder le reportage

EN AVANT-PREMIÈRE : EXTRAITS DU LIVRE DE GABRIEL DUMONT, SOUVENIRS DE RÉSISTANCE D’UN IMMORTEL DE L’OUEST

Cliquez sur «PLUS» pour lire ces extraits.

COUVERTURE DU RAPPORT BOUCHARD-TAYLOR
The Gazette ciblé par une plainte

La société Saint-Jean-Baptiste porte plainte contre le quotidien anglophone The Gazette.

Le président de l'organisme, Jean Dorion, a fait parvenir une lettre au Conseil de presse dans laquelle il blâme le journal pour avoir donné des informations sur le rapport Bouchard-Taylor cinq jours avant sa publication.

Selon monsieur Dorion, le journal a privé le public du droit de recevoir une information juste et de qualité en plus de provoquer des réactions hâtives.

La SSJB reproche particulièrement au quotidien sa manchette qui laissait supposer que la crise des accommodements était due au manque d'ouverture d'esprit des Québécois.

 Regarder le reportage de l'émission LCN du 25 mai 2008 à TVA
Pascale Déry s'entretient avec le président de la Société Saint-Jean-Baptiste, Jean Dorion.

Nouvel article

La Presse, dimanche 25 mai 2008
La SSJB dépose une plainte contre The Gazette

Le Comité des Métis-à-Riel, formé des Métis du Manitoba, de la Saskatchewan et de l’Alberta résidant au Québec ainsi que des descendants des Riel de l’Est, s’associe à l’Union métisse Est-Ouest, au Régiment des Miliciens et Réguliers du Marquis de Montcalm, ses représentants culturels, ainsi qu’à la section Louis-Riel de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, pour célébrer le 8 mai 2008. En effet, il y a trois ans déjà que les Métis d’ici se réunissaient pour la première fois aux Métis de l’Ouest après des siècles d’ignorance et de séparation, et concluaient une première entente.

Le jeudi 3 avril 2008, 19 h

Ghislain Lebel

Incohérences, contradictions et dérives du mouvement souverainiste

Maison Ludger-Duvernay
82, rue Sherbrooke Ouest

Ghislain Lebel milite en faveur de la souveraineté depuis plus de quarante ans. Membre du Rassemblement pour l’Indépendance Nationale en 1963, alors qu’il n’avait que 17 ans, il devint par la suite militant du Mouvement Souveraineté Association de René Lévesque en 1968. En 1980, il obtint son baccalauréat en droit et en 1981 son diplôme en droit notarial. Il fut par la suite conseiller juridique du Parti Québécois. En 1993, il devint député du Bloc Québécois de la circonscription de Chambly. À ce titre, il est à l’origine de la dénonciation du futur scandale des commandites. Favorable à un virage nationaliste, il a été le seul député à s’opposer à l’entente gouvernementale de l’Approche commune et au changement de nom de la province de Terre-Neuve pour Terre-Neuve-Labrador. Il fut candidat à la chefferie du Parti Québécois en 2005.

Le drapeau du Québec, un premier geste de souveraineté
par Valérie Maynard

Le 21 janvier 1948, l’Union nationale de Maurice Duplessis, alors au pouvoir depuis 1944, donnait au Québec, par un arrêté ministériel sans équivoque, son drapeau officiel.

Cliquer sur «PLUS» pour obtenir tous les détails.

La Place Chénier, à Montréal, menacée par le pic des démolisseurs

On apprenait récemment la vente par la Ville de Montréal au CHUM de la place Chénier, au coin des rues Saint-Denis et Viger. Le CHUM prévoit y bâtir des laboratoires. Érigée en 1895 en face du parc Viger, la place Chénier rend pourtant hommage à un grand chef patriote, mort héroiquement à la bataille de Saint-Eustache, le 14 décembre 1837. On s’attendrait à ce qu’un historien spécialiste des Rébellions lance les hauts cris pour dénoncer cette dilapidation de notre patrimoine. Et pourtant non. Cette annonce nous semble plutôt porteuse d’espoir, d’abord parce que l’errance semble le lot de la mémoire de ce pauvre Chénier, ensuite parce que le héros de la bataille de Saint-Eustache a, de toutes façons, toujours mérité mieux que cette place exsangue en surplomb d’une autoroute.

Monuments et sites de mémoires dans le comté de Deux-Montagnes

Textes et photos : Maxime Labonté
Traitement et mise en forme : Gilles Laporte

Saint-Eustache

La ville de Saint-Eustache laisse une empreinte très vive des rébellions patriotes de 1837-1838. Car, comme nous le savons, elle fut le théâtre de la célèbre bataille du 14 décembre 1837, qui après celle de Saint-Denis-sur-le-Richelieu est probablement la bataille la plus connue du grand public. Le fait que l’ont y retrouve encore plusieurs MONUMENTS et bâtiments de l’époque y est sans doute pour quelque chose. En effet, le dynamisme de la mobilisation patriote versus la mobilisation loyale, faisait de cette région une véritable poudrière lors des troubles survenus au Bas-Canada.

Au coeur de Saint-Eustache, la Maison Brion témoin de la rébellion de 1837. Par Jonathan Lemire, historien

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Mémoire des Patriotes dans la région de Saint-Benoît(Mirabel)

L'Église de Saint-Benoît de Mirabel

La première église, dite la Magnifique, a été construite entre 1822 et 1826. En facade, elle possédait une tour de 15 pieds par 15 d'une hauteur de 69 pieds, plus le clocher. Près du coeur, il y avait un transept de chaque côté qui excédait de 15 pieds à l'extérieur et qui comportaient chacun un autel particulier. Elle fut incendiée les 15-16 décembre 1837.

L'église actuelle a été élevée sur les ruines de la précédente en 1853. L'intérieur ne fut complété qu'en 1870. En 1907, les bancs actuels, le chauffage à l'eau chaude et le jubé on été ajoutés et le cloché a été restauré.

Bonjour,

Je tiens a lancer une invitation particulière à tous vos membres. Le 26 janvier prochain aura lieu un rallye pédestre sur la rue Saint-Eustache. Cette activité est pour nous aider à financer notre participation au Rallye Aicha des gazelles qui se tiendra en Mars.

En équipe de 4 à 6 personnes, chaque équipes seront appelés à résoudre des énigmes les menant à des endroits bien précis à l'intérieur du vieux Saint-Eustache. Le défi sera de bien résoudre les énigmes et prendre en photo les bons endroits. De plus, puisque la ville célèbre cette année le 170e anniversaire de la rébellion des Patriotes, un membre par équipe devra porter fièrement le costume d'époque des Patriotes. Le rallye se terminera par la présentation des photos d'équipes et le lancement de notre encan silencieux.

Vous pouvez visiter notre blog pour de plus amples informations concernant notre événement et le rallye des gazelles.

Salutations,

Mélissa Picard-Allard,

POlNTE-À-CALLIÈRE

Connaissez-vous les Patriotes?

À l'occasion du 170e anniversaire des rébellions dans le Haut et le Bas-Canada, le musée Pointe-à-Callière de Montréal présente une nouvelle exposition sur l'affrontement entre les Loyaux et les Patriotes.

CAROLINE ROY
Le Journal de Montréal

La Presse, samedi 10 novembre 2007
Rappel des soulèvements de 1837-1838

Dimanche 28 octobre 2007
2. Manifestation contre l’anglicisation de l’ADISQ

Mercredi 31 octobre 2007
3. Manifestation en face de l’Assemblée nationale à Québec

Le journal «La Liberté» de Saint-Boniface, Manitoba, dans son édition du 11 octobre 2007 et le journal «La Presse Québécoise» dans son édition d'octobre 2007 ont publié le texte hommage à l'auteure Ismène Toussaint écrit par Aimé Riel, descendant des Riel et président de la Section de Montréal.

La cérémonie s’est déroulée devant la foule réunie dans les jardins du manoir Globensky venue célébrer la fête nationale du Québec 2007 en présence des conseillers municipaux et des élus des gouvernements fédéral et provincial.

La décoration Fleur de lys est décernée à une personnalité qui s’est distinguée à défendre les intérêts et les droits de la langue française, de ses institutions, de ses pionniers et de ses patriotes.

Le président de la section Jean-Olivier Chénier de la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal, Benoît Coulombe, a présenté le lauréat Jean Jolicoeur en énumérant ses nombreuses activités dans les domaines économique, social et communautaire.

C’est le 8 mai 2007 que Jean Jolicoeur s’est vu décerné le Certificat de Mérite Gros-Ours pour «s’être particulièrement illustré en oeuvrant à l’union de tous les Autochtones en Pays-de-Canada dans l’esprit du Chef Gros Ours (1825-1888) et en rendant de grands services à leur association».

C’est un homme fermement consacré à la cause du Québec que nous présente Jean Côté dans son livre : Gilles Rhéaume, Baroudeur de l’indépendance, qui vient de paraître aux Éditions Quebecor. Dans le contexte actuel de perplexité et de tergiversations, il fait bon prendre contact avec un homme qui poursuit avec détermination et lucidité un idéal des plus nobles.

À celles et ceux d'entre vous qui n'en sont pas déjà informés, j'ai le regret d'annoncer le décès du Conseiller général et ancien Président général Jean-Marie Cossette, survenu à 15h30 hier après-midi, à l'Hôtel-Dieu de Montréal.

Grand Patriote de l'année 2000, toujours très actif à la Société à 78 ans, jusqu'à tout récemment encore, alors qu'il restait l'âme dirigeante du Club de conversation française qu'il avait mis sur pied à l'intention des immigrants, Jean-Marie aura été un géant parmi nous et son départ laisse un grand vide à la table du Conseil général.

À son épouse Louisette, à sa fille Marie-Josée, à son fils Jean-Daniel, aux autres membres de sa famille et à toutes les personnes qui ont connu et aimé Jean-Marie, je dis en votre nom à tous notre plus profonde sympathie.

Le fleurdelisé a été mis en berne ce matin, dimanche, devant le siège de la Société et il le restera toute la semaine.

Le président général,
Jean Dorion

Cliquer sur «PLUS» pour obtenir tous les détails.

Cent soixante et dix (170) ans après la bataille des Patriotes de Saint-Eustache du 14 décembre 1837, le nouvel exécutif de la Section Jean-Olivier Chénier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal a fait enregistrer le drapeau des Patriotes de Saint-Eustache auprès de l'Office de la propriété intellectuelle du Canada du Ministère d'Industrie Canada.

Dimanche, 28 janvier 2007
La langue française

Samedi, 27 janvier 2007
La laicité

Samedi, 27 janvier 2007
La consommation d’énergie

Souper des Patriotes
Denise Beaudoin est nommée Patriote régionale de l’année
par Martin Leclerc

Au Souper des Patriotes tenu samedi dernier à la salle des Chevaliers de Colomb de Saint-Eustache, la section Jean-Olivier-Chénier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (SSJBM) a décerné à la députée de Mirabel, Denise Beaudoin, le titre de Patriote régionale de l’année.

À l`origine de la bataille de Saint-Eustache par des dames de Saint-Benoît, il est utilisé dans les diverses rencontres des Patriotes de la région en 1837.

Lors de la bataille de Saint-Eustache, le 14 décembre 1837, ce drapeau, dit de Chénier, est porté bien haut. Les multiples déchirures du drapeau témoignent de l`ardeur des combats entre les Patriotes de Chénier et les troupes de John Colborne. Récupéré après le combat de Saint-Eustache, ce drapeau est conservé au Château Ramesay à Montréal.

La section Jean-Olivier-Chénier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal est heureuse d`offrir aux patriotes d`aujourd`hui une reproduction fidèle de cet oriflame. Les personnes intéressées à faire l`acquisition de ce drapeau sont priées de commander leur exemplaire auprès de la Section Jean-Olivier-Chénier aux coûts suivants selon la grandeur désirée :

36 pouces X 54 pouces à 100$ pièce
6 pouces X 10 pouces à 5$ pièce

Après avoir rappelé les faits saillants de la personnalité, de la vie et de l'oeuvre de la célèbre romancière, l'auteure se penche pour la première fois sur les rapports ambigus qu'elle a entretenus tout au long de sa vie avec le Québec afin de mieux nous faire comprendre les raisons de son anti-indépendantisme.

CHRONIQUE D’HISTOIRE

Au début de décembre 1837, le général Colborne prépare une expédition armée vers les Cantons du Nord ; ses deux principaux objectifs sont le village de Saint-Eustache et celui du Grand-Brûlé ou Saint-Benoît. Le 14 décembre 1837, sous un froid de -25 degrés Celsius, Colborne est à la tête de 1 300 soldats et 9 canons ; il prendra cinq heures pour écraser les 250 Patriotes dirigés par Jean-Olivier Chénier.

Par ANDRÉ GIROUX
SSJB- Section Jean-Olivier Chénier

Le 27 avril 2006

Voici copie du message transmis au Premier ministre du Québec ce matin par l'Association :

« Monsieur le Premier ministre,

L'Association des descendants des Patriotes a pris connaissance avec stupéfaction d'un document de travail, rendu public dans Le Devoir, selon lequel une révision en profondeur de l'enseignement de l'histoie nationale était présentement à l'étude au ministère de l'éducation. Comment est-il possible de vouloir gommer du programme d'études secondaires des pans entiers de l'histoire du Québec dont, au premier chef, le combat héroïque des Patriotes de 1837-1838 pour se libérer de la tutelle anglaise qui serait désormais présenter comme un bienfait de la providence, dénaturant ainsi les faits historiques les plus incontestables?

Ce projet est à nos yeux une entreprise qui rappelle le régime stalinien.

Nous vous demandons de mettre fin immédiatement à toutes ces démarches qui ne pourraiet que fausser l'histoire.

Les Papineau, de Lorimier, Chénier, Duvernay et autres Patriotes, dont près de 2 millions de Québécois sont les descendants directs, méritent pleinement d'être présentés pour ce qu'ils sont : des libérateurs de peuple animés du désir de faire du Québec une république libérée du colonialisme britanique.

Évacuer ce chapitre de l'histoire, c'est travestir la réalité historique, c'est enseigner le mensonge et faire la promotion d'une banalisation du patrimoine national.

Comment un gouvernement peut-il en être rendu à tolérer un semblable programme au service d'une propagande éhontée visant à réécrire l'histoire?

Il a eu le mandat de travailler avec les Patriotes du Pays (ceux de Saint-Denis, Saint-Charles) pour préparer un dossier menant à la Réhabilitation religieuse des Patriotes.

Claude-Henri Grignon a fait partie de la Société d’histoire de Deux-Montagnes, met sur pied une publication Bi et Tri-annuelle qui s’appelle (Les Cahiers d’histoire de Deux-Montagnes). C’est une publication qui va rédiger une foule de sujets sur l’ancien comté de Deux-Montagnes.

Émilie Berthelot-Girouard fait partie de ces femmes qui ont voué leur vie à la liberté des leurs.

Témoin de la bataille de Saint-Eustache
Émilie Berthelot: femme d’exception

par Josianne HASPECK

Il y a de ces femmes qui ont voué leur vie à la liberté des leurs. Bien avant de profiter de leurs droits légitimes, elles ont dû se battre pour leur famille, leurs amis et leurs convictions. Émilie Berthelot-Girouard est de celles-là.

SECTION LOUIS-RIEL DE LA SSJBM

JACQUES HANNON REÇOIT LE PRIX JEAN-SAINT-AMOUR

Louis Riel (1844-1885)

Concrétisation d'une union nationale pour les Métis francophones

11 OCTOBRE 2005
RECONNAISSANCE OFFICIELLE DES MÉTIS DE L’EST PAR LES MÉTIS DE L’OUEST

« LA RÉVOLUTION MÉTISSE EST EN MARCHE ! » DÉCLARE ISMÈNE TOUSSAINT LORS DU LANCEMENT DE SON LIVRE, LOUIS RIEL : JOURNAUX DE GUERRE ET DE PRISON

Voir les articles, allocutions et diaporama en cliquant à «PLUS» ci-dessous.

LE DRAPEAU DES PATRIOTES

Les Patriotes de Saint-Eustache ont utilisé un deuxième étendard lors de la bataille du 14 décembre 1837. Drapeau imaginé par la mère du patriote Damien Masson et dessiné par monsieur Girouard de Saint-Benoît, il est constitué d'une étoffe blanche peinte en brun, vert et bleu.

Cliquer sur «PLUS» pour lire l'historique.

MAISON LUDGER-DUVERNAY
Siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal

Gâtez-vous, offrez-vous la Maison Ludger-Duvernay. Cliquer sur «PLUS» pour en savoir davantage.

Mardi, le 11 octobre 2005

Les éditions STANKÉ QUÉBÉCOR MÉDIA annoncent la parution pour le 26 septembre 2005 du nouveau livre de Ismène Toussaint : LOUIS RIEL : JOURNAUX DE GUERRE ET DE PRISON (Présentation, notes et chronologie métisse 1604-2006)

Cliquer sur «PLUS» pour lire la suite de l'article.

Si Saint-Eustache m'était conté!

Un ancien président de la Société d'Histoire régionale de Deux-Montagnes disait récemment dans une conversation avec un membre de l'équipe éditoriale: «Les grandes lignes de l'histoire de Saint-Eustache sont maintenant entièrement connues; il ne reste qu'à en fignoler certains détails». Quiconque a le moindrement fouillé les archives disponibles peut se rendre compte à quel point celui-ci se trompait, même s'il s'agit d'un personnage mieux informé que la plupart des résidents du pays des Deux-Montagnes.

Voir à «PLUS» pour texte complet.

La terre de Jean-Olivier Chénier

par

Claude-Henri Grignon

La maison de Grégoire Pesant dit Sanscartier, rue Féré à Saint-Eustache, construite en 1886.

La ferme que possédait Jean-Olivier Chénier à Saint-Eustache était située dans la Côte du Lac et était bornée à l'est par l'actuelle rue Féré. Cette terre correspond aujourd'hui au lot numéro 51 au cadastre de la paroisse de Saint-Eustache. C'est là qu'avant les événements de décembre 1837 ira se réfugier son épouse, Zéphirine Labrie.

Voir à «PLUS» pour texte complet.

Le Moulin Lauzon

par

Marc-Gabriel Vallières

La maison du meunier Édouard Lauzon, au 763, chemin de la Rivière-Sud.

Le moulin Lauzon, jadis situé sur la côte du sud de la Rivière du Chêne, à l'entrée de la Fresnière, est le plus tardif des moulins à farine de Saint-Eustache, puisqu'il a été construit durant l'automne de l'année 1856. Il restera en opération jusqu'au début du vingtième siècle.

Voir à «PLUS» pour texte complet.

Le Moulin de la Dalle

par

Claude-Henri Grignon
André Giroux

Le côté ouest du moulin, par Claude-Henri Grignon

Le moulin de la Dalle, situé au confluent des rivières du Chicot et des Mille-Îles, au 439, chemin de la Grande-Côte à Saint-Eustache, témoigne d'un passé où ses propriétaires se sont surpassés pour le maintenir en opération. Construit sur une rivière à très faible débit d'eau, son avenir n'était pas assuré. Il a fallu user d'une technique inusitée pour le faire fonctionner et d'une disposition légale pour le maintenir en opération.

Voir à «PLUS» pour texte complet.

Lors de son Assemblée Générale Annuelle, tenue le 2 février 2003, à Saint-Eustache, il fut proposé par le député du Bloc Québécois, Gilles Perron, secondé par Michel Héroux et accepté à l’unanimité, que le site «PATRIOTES Saint-Eustache (Québec)» devienne le site internet officiel de la Section Jean-Olivier Chénier de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.